- English Exam Centre de Montpellier, Henry bonjour…
- Bonjour Monsieur, je vous appelle pour me renseigner sur le TOEIC.
La ligne téléphonique grésille. Mon interlocuteur doit m’appeler depuis un portable.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Voilà, il me faut 750 points au TOEIC d’ici le mois prochain.
- D’accord, et quel est votre niveau actuel ?
- J’ai déjà passé le TOEIC le mois dernier où j’ai eu 595 points …
Cinq cent quatre vingt quinze points. 155 points d’écart ça n’a pas l’air de grand chose. Mais 750 points au TOEIC correspond à un niveau d’anglais presque deux fois supérieur que 600.
- Est-ce que vous pouvez me préparer au TOEIC, poursuit mon interlocuteur ?
- Bien sûr, je réponds de façon automatique, nous avons un cours tous les mois. Mais … je marque une pause … Vous avez aussi besoin de cours d’anglais…
- Des cours d’anglais ?
Mon interlocuteur a l’air surpris ! On dirait que j’ai lâché un gros mot. Il me parle de sa copine, qui aurait réussi le TOEIC par la force du bachotage, en faisant et refaisant des examens blancs. Je l’écoute patiemment. Combien d’autres histoires pourrais-je lui raconter de jeunes qui ont gaspillés 400, 600, 800 € à faire et à refaire des TOEIC (jusqu’à 10 fois de suite !) sans prendre la peine de vraiment apprendre la langue.
L’histoire de mon interlocuteur est probablement vraie. Certains y arrivent par bachotage, d’autres pas. Que faut-il en penser ?
Morale de l’histoire : S’il manque 10, 20 ou même 50 points de TOEIC, on peut conseiller le bachotage - une bonne préparation à la logique d’examen. Lorsqu’il manque 100 ou 200 points, c’est plus simple et plus utile de commencer par apprendre l’anglais.
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